Napoleon Hill : « Réfléchissez et devenez riche »
Chapitre 7 : Sixième étape vers la richesse : L’élaboration des plans. (Suite et fin)
Napoleon Hill conseille chaque année de faire une auto-analyse en fin ou début d’année afin de voir si on a évolué par rapport à l’année d’avant. On peut demander l’assistance d’une personne qui nous connait bien afin de se forcer à regarder la vérité et à la dire. Voici les questions à se poser :
- Ai-je atteint le but que je m’étais fixé cette année ? (le but annuel ne doit être qu’une étape de votre vie qui est toute axée vers un but plus élevé)
- Ai-je fait de mon mieux ou aurais-je pu améliorer la qualité de mes services ?
- Ai-je toujours été animé par un esprit d’harmonie et de coopération ?
- Ai-je laissé, par manque de décision, amoindrir mon efficacité et, si tel est le cas, jusqu’à quel point ?
- Ai-je amélioré mon caractère et, si oui, de quelle façon ?
- Ai-je été assez persévérant pour faire aboutir mes plans ?
- Ai-je toujours promptement et définitivement pris les décisions qui m’incombaient ?
- Ai-je permis à la peur sous toutes ses formes d’amoindrir mon efficacité ?
- Ai-je été trop ou pas assez prudent ?
- Mes relations avec mes associés ont-elles été toujours harmonieuses ou non ? Si elles ont été désagréables, suis-je fautif, en partie ou entièrement ?
- Ai-je gaspillé mon énergie par manque de concentration dans l’effort ?
- Ai-je été ouvert et ai-je été tolérant en toutes choses ?
- De quelle façon ai-je amélioré mon aptitude à rendre service ?
- Ai-je été trop loin dans l’une ou l’autre de mes habitudes ?
- Ai-je exprimé ouvertement ou même secrètement, une forme quelconque d’égoïsme ?
- Ma conduite envers mes associés les a-t-elle forcés au respect ?
- Mes opinions et mes décisions ont-elles été basées sur l’intuition ou sur la réflexion et l’étude approfondie ?
- Ai-je pris l’habitude d’établir un budget pour tout : mon temps, mes dépenses, mon revenu, et m’y suis-je conformé ?
- Combien de temps ai-je consacré à des efforts inutiles alors que j’aurais pu l’utiliser à d’autres fins ?
- Comment, pour être plus efficace, puis-je réorganiser mon temps et changer mes habitudes ?
- Ai-je été coupable d’une action réprouvée par ma conscience ?
- Ai-je rendu gratuitement des services et, si tel est le cas, comment m’y suis-je pris ?
- Ai-je été injuste envers quelqu’un et, dans l’affirmative, de quelle façon ?
- Si, pour l’année qui s’achève, j’avais été l’acheteur de mes propres services, en aurais-je été content ?
- Ai-je choisi la profession qui me convient ? Dans la négative, pourquoi ?
- L’acheteur de mes services a-t-il été satisfait et, dans la négative, pour quelle raison ?
- Si, en prenant pour repère les principes fondamentaux du succès, je fais le point de ma situation actuelle, quelle est-elle ? (le faire en toute franchise et demander à quelqu’un de courageux et impartial pour le vérifier).
Après avoir étudier les conditions à observer pour devenir riche, il faut se poser la question « Où trouver une occasion favorable à l’application de ces conditions ? »
L’homme occidental jouit de maintes libertés :
– Penser
– Agir
– Choisir un métier
– Choisir son lieu de résidence
– Choisir son conjoint
– Voyager
– S’alimenter
– Faire fortune sans léser autrui
Chaque forme de liberté est une occasion de faire fortune
Contrairement à ce qui est à la mode aujourd’hui, Hill considère le capital comme le bienfaiteur de l’humanité. Par capital, il entend non seulement l’argent mais surtout les hommes intelligents et parfaitement organisés qui élaborent des plans pour rendre cet argent profitable aux autres et à eux-mêmes. Ces personnes innovent, expérimentent, financent les universités, hôpitaux, routes. Ils publient des journaux, soutiennent des gouvernements et s’occupent d’une foule de détails propres à l’humanité. Sans maitres pour l’administrer, l’argent est toujours dangereux, mais bien utilisé, il est un des facteurs primordiaux de la civilisation.
Hill précise que l’Amérique est capitaliste et s’est développée grâce au capital. Nous n’aurions ni espoir ni richesse ni occasions de faire fortune si le capital organisé ne nous en donnait la possibilité. Faire fortune légalement, c’est rendre des services utiles, car on ne peut obtenir d’argent sans donner quelque-chose en échange.
Dans un pays riche, on a toute ses chances pour devenir soi-même riche.
RESUME :
– 4 principes dynamiques exposés ci-dessus vous aident à constituer un cerveau collectif qui augmentera considérablement vos possibilités d’enrichissement.
– Il faut exploiter les 11 secrets du dirigeant idéal et les 10 raisons de l’échec des dirigeants
– La prospérité est bâtie sur le capital. Cela est analogue au capital illimité que chacun possède en lui.
A suivre….
Prochain article : La prise de décision
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Super résumé